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Peu importe ce que vous photographiez : paysages, voyages, faune, photographie de rue, portrait… Littéralement tout ce que vous photographiez, il y a toujours la possibilité de faire des sélections sur l’image lors de la retouche dans Photoshop.

Pour moi, je fais beaucoup de sélections lors de la retouche de portraits pour séparer les sujets des arrière-plans, et j’utilise une variété d’outils différents pour le faire. Mais quand même, de temps en temps, j’apprends quelque chose de nouveau qui fait passer ma retouche au niveau supérieur.

Entrez Nathaniel Dodson et sa chaîne YouTube Tutvids. Dodson a une excellente vidéo décrivant un tas d’excellentes façons de faire des sélections précises, puis de les rendre encore meilleures avec les bons ajustements.

Il couvre une variété de méthodes de sélection, y compris des outils d’intelligence artificielle tels que la sélection du ciel, la sélection de la gamme de couleurs, la sélection d’objets également, la zone de mise au point, etc. Ensuite, il utilise des outils tels que affiner les bords, sélectionner et masquer, l’outil de maculage, les sélections basées sur les canaux, décontaminer les couleurs et autres pour améliorer ces sélections et les faire se fondre de manière plus transparente.

Par exemple, il existe un outil improbable pour nettoyer les artefacts de bord où la couleur d’arrière-plan se faufile dans les détails fins, les zones complexes des bords et des coins. Cela se produit souvent avec des choses comme les plumes, les cheveux et le feuillage. Dodson suggère d’utiliser l’outil Smudge pour nettoyer un masque et créer des bords plus lisses et plus nets qui camouflent les défauts de Photoshop – ou plus précisément, les défauts des retoucheurs amateurs – lorsqu’il s’agit de sélections très fines et complexes.

« C’est comme un super pouvoir », explique Dodson. « L’utilisation de cet outil, que je n’utilise presque pas dans Photoshop, va aider à nettoyer tous ces contours. Il n’y a vraiment aucun outil dans Photoshop qui se débarrasse très bien de ce genre de choses [edge selection artifacts]… Cela ne le fait tout simplement pas très bien. Donc, si vous sélectionnez le masque de calque lui-même, vous pouvez utiliser l’outil de maculage. Je garde la force autour de 50 et je réduis la taille du pinceau. Nous travaillons sur le masque. Je vais juste peindre et je vais pousser du blanc dans mon masque sur les morceaux qui sont verts, et ça va les essuyer. Ce que cela a fait, c’est que cela nous a donné un avantage très réaliste.

Dodson utilise ensuite l’outil Sélectionner et masquer, en modifiant les modes d’affichage et en effectuant un zoom avant pour obtenir des vues rapprochées des détails de la sélection fine. Il suggère d’adoucir les pixels avec les commandes Sélectionner et Masquer afin de nettoyer les bords du masque et de voir facilement où se trouvent les lacunes en changeant les arrière-plans en rouge ou en noir pour mieux voir les détails les plus fins de la sélection.

Il utilise également mon outil d’affinage des bords préféré pour les sélections : Affiner les bords.

« Le pinceau de finition des bords est un peu délicat », dit-il. « C’est un peu capricieux. L’une des choses que j’ai trouvées qui fonctionnent le mieux avec ce pinceau est A, utilisez-le avec un bord doux, et B, rendez-le aussi petit que possible. Vous voulez juste qu’il chevauche le bord que vous regardez. Vous ne voulez pas prendre un pinceau géant et l’étendre sur le tout. Cela ne semble tout simplement pas très bien fonctionner.

Il fonctionne également sur les bords défroqués autour des masques. Par exemple, si vous coupez une image à partir d’un fond clair et que vous la collez sur un fond sombre, vous vous retrouverez avec un peu de halo ou une frange plus claire le long du bord. Dodson utilise un pinceau avec un réglage de mode spécial pour peindre sur le masque et améliorer le bord.

« Afin de rendre cela facile », dit-il, « le code de triche consiste à accéder au mode et à choisir le mode de fusion Soft Light. Agrandissez un peu votre pinceau et peignez jusqu’aux bords. Et ce que ce mode de mélange Soft Light rend les blancs un peu plus blancs, pousse les blancs un peu plus loin. Ou si vous peignez avec du noir, cela va pousser le noir un peu plus loin et cela va faire des choses comme vous permettre de peindre jusqu’au bord et de supprimer un peu de ce halo.

Il poursuit en discutant de la conversion des éléments en objets intelligents pour aider à réparer les effets de halo le long des bords, ainsi que des modes de fusion et de la luminosité le long du bord du calque pour aider à le fondre de manière plus transparente dans l’arrière-plan.

Enfin, Dodson conclut en discutant des sélections ultra-complexes avec Channels. Cela s’applique aux sujets difficiles, tels que la sélection et le masquage de tout le feuillage et les branches d’un arbre et la possibilité de masquer le ciel et l’arrière-plan, même s’ils apparaissent dans de petits aperçus au centre de l’arbre. Pour faire une telle sélection ultra-complexe, il propose une combinaison d’outils de sélection d’objets et de lasso manuel pour ajuster la sélection avant le masquage en fonction du canal de couleur du sujet. Ensuite, il affine les bords d’une sélection complexe en utilisant les commandes de niveaux pour ajuster les zones noires et blanches d’un masque de calque. Étant donné que les tons du masque sont soit noirs, soit blancs, les ajustements de niveaux étendent ou contractent efficacement ce masque. C’est un excellent moyen de resserrer un masque sur les bords afin d’éliminer les halos et les bords flous. Découvrez la vidéo complète sur la chaîne YouTube de Tutvids, ou regardez-la ci-dessous !

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Plusieurs articles intéressants de la fin de la semaine dernière qui valent la peine d’être suivis :

Les centres de données FiberLight et McAllen investissent chacun davantage dans leur infrastructure à la frontière sud. FiberLight intégrera la fibre dans la nouvelle installation de MDC au 500 Bliss Street à Eagle Pass TX, ajoutant un autre nœud clé à leur profondeur au Texas. La nouvelle installation de MDC répondra aux besoins transfrontaliers, située sur un chemin clé entre Dallas et le marché croissant des centres de données de Querétaro.

Comcast Business élargit son portefeuille SD-WAN avec deux nouvelles offres pour les PME. Ils adaptent leur technologie aux entreprises disposant d’emplacements autonomes et de ressources informatiques limitées qui doivent tirer parti en toute sécurité des applications SaaS et d’autres services cloud. Pendant ce temps, Comcast Business a également révélé une victoire intéressante en matière de connectivité à Philadelphie. Ils fournissent l’infrastructure pour connecter le Arlen Spectre US Squash Center à University City, qui abrite UPenn et Drexel.

La fusion de PacketFabric et Unitas Global est officiellement terminée. L’accord précédemment annoncé combine le portefeuille de réseaux en tant que service des deux sociétés sous la marque PacketFabric. Epaulés par Digital Alpha Advisors, ils ont désormais bien sûr un travail d’intégration devant eux.

Et Windstream affirme avoir achevé le retrait de tous les équipements Huawei de son réseau. Ils avaient hérité de certains équipements Huawei lors de leur achat d’EarthLink en 2017. Suite à la désignation par la FCC du fournisseur comme une menace pour la sécurité nationale, les fournisseurs de services ont pris des mesures pour éliminer leur exposition.

Si vous ne l’avez pas déjà fait, veuillez répondre à notre sondage auprès des lecteurs ! Juste 3 questions pour nous aider à mieux comprendre qui lit (info originelle thème de film d’entreprise) afin que nous puissions mieux vous servir !

Catégories : Fusions et acquisitions · Fibre métropolitaine · SDN · Sécurité · Équipement de télécommunication

Ce FIX vous est proposé par Préparation H et leur nouveau Rapid Relief Spray. Obtenez un soulagement rapide avec la lidocaïne la plus puissante qui soit. Pour plus d’informations, rendez-vous sur PrepertionH.com

Cette semaine, nous avons des histoires sur Nikon abandonnant les spécifications Z8. Canon annonce les spécifications et fonctionnalités officielles du R1. Et enfin, Sony déçoit avec une carte mémoire. Ceci est votre Photo News Fix.

Oh oui, c’est votre poisson d’avril Fix pour 2023….AKA C’EST TOUT COMPOSE !!! TOUTES LES CARACTÉRISTIQUES DES Z8, R1 et Sony Memory Card Story sont inventées et basées sur rien du tout. Merci d’avoir regardé et apprécié.

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En rapport

Nouvelles

Les rapports suggèrent que l’unité pourrait valoir jusqu’à 200 millions de livres sterling

Cette semaine, les médias suggèrent que le FAI britannique TalkTalk étudie la possibilité de vendre sa branche B2B, TalkTalk Business Direct.

L’unité, qui dessert actuellement environ 80 000 entreprises clientes au Royaume-Uni, pourrait atteindre un prix de 200 millions de livres sterling, selon des sources.

Tout accord inclurait également un accord de gros à long terme, donnant à l’acheteur un accès préférentiel au réseau de TalkTalk.

La banque d’investissement Houlihan Lokey a été embauchée pour superviser la vente.

La nouvelle arrive à un moment intéressant pour TalkTalk, qui a récemment subi un remaniement de la direction.

Jusqu’à la fin de l’année dernière, la société était en pourparlers sur une éventuelle acquisition par Virgin Media O2 pour une somme d’environ 3 milliards de livres sterling. Cependant, des obstacles réglementaires ont finalement mis ces discussions de côté, laissant l’avenir de TalkTalk incertain.

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Gim Liu est un photographe commercial basé au Royaume-Uni et connu de ses abonnés Instagram sous le nom de @Gimagery, un mélange des mots Gim (son nom) et Imagery (sa passion). Cette passion est évidente dans ses photographies préférées, celles réalisées après la tombée de la nuit. Il est un spécialiste du light painting et dans son nouveau livre, « A Beginner’s Guide to After Dark Photography with Gimagery », il décrit son approche pour créer cinq styles distincts de photos de light painting, dont deux sont sa propre invention.

« La beauté de la photographie à longue exposition », dit Liu, « est que vous n’êtes limité que par votre imagination. Les possibilités sont infinies. C’est mon type de photographie préféré car je suis toujours fasciné par les couleurs vibrantes et les traînées et traînées de lumière produites par l’appareil photo. J’aime le défi de donner vie à une idée. Le résultat est toujours inconnu car ma photographie est principalement expérimentale. Je l’aime parce qu’il fait ressortir mon côté créatif et stimule mon imagination.

La nature expérimentale du light painting fait partie de son attrait. Contrairement à la plupart des types de photographie, le processus utilise un appareil photo pour créer une image qui serait autrement invisible à l’œil nu. Mais comme tout bon scientifique le sait, une expérimentation fructueuse nécessite une planification et une préparation appropriées pour fournir des résultats utiles. C’est pourquoi Liu a développé un système qu’il appelle la formule ADP pour aider à produire de meilleures photographies de peinture à la lumière.

« ADP signifie after dark photography », dit-il. « J’ai créé cette formule simple pour faciliter la création et la capture de photos à longue exposition. Il explique l’ensemble du processus pour fournir une bonne compréhension de ce qui est impliqué dans chaque étape. Il constitue également un guide qui peut être suivi pour guider quelqu’un à travers les étapes tout au long du processus.

La formule After Dark Photography de Liu est composée de quatre étapes principales : Planifier, Configurer, Exécuter et Analyser.

Étape 1 : planifier

Décidez de l’emplacement et de l’équipement. Pensez au type de photo que vous voulez créer, ainsi qu’à l’endroit où vous allez le faire, puis rassemblez tout l’équipement nécessaire pour la prise de vue. « L’étape de planification est l’endroit où le processus commence », explique-t-il, « et afin d’être parfaitement préparé, diverses décisions sont prises avant de prendre une photo. »

Étape 2 : Configurer

Positionnement, paramètres de la caméra, mise au point, test. « L’étape de mise en place est d’une grande importance », déclare Liu. « C’est là que tout est préparé et mis en place pour exécuter la photo que vous avez planifiée. Si vous allez être dans le plan, décidez où vous vous tiendrez ou où votre appareil photo doit être placé pour capturer ce qui est prévu. Positionnez ensuite le trépied de manière appropriée, installez l’appareil photo et composez le cadre. Composez ensuite les réglages ISO, ouverture et vitesse d’obturation avant d’activer le retardateur. Vous pouvez utiliser la mise au point automatique pour faire la mise au point dans la zone du cadre où l’action se produira, mais une fois la mise au point déterminée, réglez l’appareil photo sur la mise au point manuelle afin qu’il ne change pas accidentellement, puis prenez quelques photos d’essai et ajustez chacun des paramètres ci-dessus. au besoin jusqu’à ce que l’image soit correcte.

Étape 3 : Exécuter

« L’étape d’exécution est celle où la planification et la configuration sont mises en œuvre », explique Liu. Il existe plusieurs approches pour déclencher la caméra. Vous pouvez déclencher le retardateur juste avant de vouloir capturer l’instant, ou démarrer un retardateur plus long, par exemple un réglage de 10 secondes, puis vous mettre en position. Ou vous pouvez vous mettre en position et utiliser une télécommande sans fil pour déclencher l’appareil photo afin de faire l’exposition. Effectuez ensuite l’action pour créer la photo, ou si votre participation n’est pas requise, attendez simplement que l’action se déroule.

Étape 4 : Analyser

Examinez, ajustez, répétez. « La dernière partie du processus est l’étape d’analyse, où vous examinez les photos que vous avez prises. Ici, une attention aux détails est nécessaire pour les ajustements qui peuvent être nécessaires afin de capturer la photo comme vous l’aviez imaginé. Une fois la capture terminée, vérifiez l’écran LCD à l’arrière de l’appareil photo pour voir ce que vous avez fait. Selon les résultats, vous devrez probablement faire des ajustements. Il peut s’agir de paramètres de l’appareil photo (ISO plus élevé ou vitesse d’obturation plus longue pour plus de lumière, par exemple) ou de changements de performances. Quoi qu’il en soit, effectuez les ajustements nécessaires, puis répétez l’étape 3 (exécution) et l’étape 4 (analyse) jusqu’à ce que vous soyez satisfait de la photo obtenue.

Dans son livre, Liu entre dans les détails avec de nombreux exemples de cinq techniques de peinture à la lumière distinctes : les mots, les traînées lumineuses, la laine d’acier, les contours et la trajectoire. Deux sont ses créations originales.

« Les deux types de photos que je préfère sont le contour et la trajectoire », dit-il, « que j’ai imaginé moi-même. Ce sont tout simplement les plus intrigants à regarder.

Le contour est un processus d’utilisation de la lumière pour tracer des lignes et définir la bordure ou la forme extérieure d’un objet. Pour ce faire, utilisez une lampe de poche ou un cierge magique pour dessiner le contour pendant la longue exposition, la lumière disparaissant périodiquement derrière l’objet pour assurer un contour fidèle et précis. Tandis que Trajectory montre la trajectoire d’un objet en mouvement, comme une balle, grâce à un cierge magique attaché à un objet qui est ensuite lancé, frappé ou roulé pendant l’exposition.

« Un cierge magique attaché à l’objet », explique Liu, « permet à la caméra de capturer le mouvement de l’objet et de montrer comment il s’est déplacé. La trajectoire est l’une des techniques photographiques les plus impressionnantes et les plus créatives enseignées dans mon livre.

Ces techniques peuvent sembler difficiles, mais Liu dit que, comme beaucoup de photographies de peinture à la lumière, elles sont assez accessibles.

« À mon avis », dit-il, « le plus grand malentendu que les gens ont à propos du light painting est qu’ils pensent que c’est plus difficile qu’il ne l’est réellement. Ne vous méprenez pas, cela demande parfois beaucoup d’efforts. Mais les gens pensent à tort que cela dépasse leurs capacités. De plus, cela n’implique pas beaucoup d’équipement : juste un appareil photo avec des commandes d’exposition manuelles, un trépied et une source de lumière, qui peut être aussi simple qu’une lampe de poche. »

Je pense que la plus grande erreur que les gens commettent avec le light painting est globale », poursuit-il. « C’est simplement le manque d’imagination utilisé au cours de la première étape du processus, c’est-à-dire trouver une idée. Bien sûr, les photos créées par les traînées lumineuses des véhicules ou lorsque vous éclairez les motifs et les traits de peinture ont l’air cool, mais le niveau de créativité pourrait être beaucoup plus élevé. Utiliser votre imagination pour être plus créatif produit des photos plus intéressantes et captivantes.

« Quand j’essaie de trouver une idée de ce qu’il faut photographier », ajoute Liu, « cela doit avoir le potentiel d’aboutir à au moins l’un des résultats suivants : créer l’impression de mouvement, donner vie à un objet statique, produire une image d’apparence inhabituelle ou avoir des qualités qui intriguent et captivent. Ces points sont les fondamentaux sous-jacents sur lesquels mes idées sont basées.

Le nouveau livre du photographe de light painting Gim Liu, « Un guide du débutant pour la photographie après la tombée de la nuit avec Gimagery », est disponible sur Amazon. Voir plus de son travail sur son site Web à gimagery.net, sur Instagram @gimagery_, ou sur Facebook à facebook.com/gimagery. Voir la bande-annonce vidéo de son livre ci-dessous.

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Nouvelles

La sanction résulte de la violation de leur accord de poursuite différée (DPA) avec le ministère de la Justice (DoJ) depuis 2019

Cette semaine, le fournisseur suédois d’équipements de réseau mobile Ericsson a annoncé qu’il verserait au DoJ américain la somme de 206,7 millions de dollars, réglant une bataille juridique liée à un scandale de corruption très médiatisé.

En 2019, à la suite d’une enquête, le DoJ et la Securities and Exchange Commission (SEC) ont accusé Ericsson d’avoir soudoyé des fonctionnaires en Chine, à Djibouti, en Indonésie, au Koweït, en Arabie saoudite et au Vietnam entre 2010 et 2016.

Pour résoudre ce conflit, Ericsson a signé un DPA avec le DoJ, acceptant de payer au gouvernement américain 1,06 milliard de dollars pour régler l’affaire.

Cependant, l’année dernière, Ericsson a annoncé qu’une enquête interne avait révélé que la société avait peut-être versé des pots-de-vin au groupe terroriste État islamique en Irak, remontant à 2011.

Cette révélation, ainsi que d’autres questions sur les activités d’Ericsson à Djibouti et en Chine, ont conduit le DoJ à accuser le vendeur d’avoir violé les termes de son DPA.

« Lorsque le Département a donné à Ericsson la possibilité de conclure un DPA pour résoudre une enquête sur de graves violations du FCPA, la société a accepté de se conformer à toutes les dispositions de cet accord », a déclaré le procureur général adjoint Kenneth Polite. « Au lieu d’honorer cet engagement, Ericsson a refusé à plusieurs reprises de coopérer pleinement et de divulguer des preuves et des allégations d’inconduite en violation de l’accord. »

En conséquence, cette semaine, Ericsson est à nouveau obligé de payer pour se sortir des ennuis, réglant ce dernier affrontement en acceptant un règlement avec le gouvernement d’une valeur de 206,7 millions de dollars.

La société s’attendait depuis un certain temps à une amende du DoJ, après avoir réservé environ 220 millions de dollars dans son budget pour couvrir cette dépense en janvier.

« Prendre cette mesure aujourd’hui signifie que la question des violations est désormais résolue. Cela nous permet de nous concentrer sur l’exécution de notre stratégie tout en conduisant un changement culturel continu dans toute l’entreprise avec l’intégrité au centre de tout ce que nous faisons », a expliqué le PDG d’Ericsson, Borje Ekholm.

Dans des nouvelles connexes, Ericsson a récemment révélé qu’il supprimerait environ 8 500 emplois dans le monde dans le cadre des efforts visant à réduire les coûts et à rationaliser ses opérations. Environ 1 400 de ces rôles seront sur le marché d’origine suédois du fournisseur.

La société cherche actuellement à réduire ses coûts d’environ 880 millions de dollars d’ici la fin de 2023.

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Ce point de vue de l’industrie a été rédigé par Joshua Feast, PDG et co-fondateur de Cogito

Entre les plaintes des clients et les demandes d’avantages, de remises et de mises à niveau, les centres de contact de télécommunications sont confrontés à des défis uniques. Les agents de première ligne servent souvent de premier point de contact pour de nombreux clients, ce qui en fait le visage et la voix de l’entreprise. Dans un tel paysage concurrentiel, où une mauvaise interaction avec le service client peut amener le consommateur à changer de fournisseur de services, les équipes de télécommunications doivent déterminer ce qu’il faut faire pour garder une longueur d’avance sur les autres.

Pour réussir et maintenir et développer l’organisation, les fournisseurs de télécommunications doivent reconnaître les points faibles qu’ils endurent—un paysage hautement concurrentiel, le roulement des représentants et le large éventail de directions que tout appel peut prendre— puis identifier un moyen d’opérationnaliser l’excellence avec l’intelligence artificielle (IA).

Point douloureux n° 1 : les nombreuses options dans le paysage concurrentiel d’aujourd’hui

Il y a plus de 900 entreprises de télécommunications sans fil aux États-Unis en 2022, aux côtés de certains des plus grands acteurs comme AT&T, Verizon et T-Mobile, qui offrent tous de nombreuses options aux clients. N’ayant souvent besoin que d’un seul fournisseur pour tous les besoins en télécommunications, le paysage concurrentiel est un champ de bataille pour se battre pour la part de portefeuille. Ceci n’est qu’accentué par les offres quelque peu génériques que vous obtenez des services de télécommunications, ce qui rend de plus en plus difficile pour les clients de se différencier les uns des autres.

Alors que le libre-service et la sélection deviennent plus faciles pour les clients, les entreprises de télécommunications ont invariablement facilité le changement de fournisseur à tout moment. Par conséquent, les entreprises doivent se concentrer sur la différenciation des services grâce à l’expérience client. Lorsque les clients appellent avec un problème, une question ou une préoccupation, ceux qui créent des connexions mémorables et positives se démarqueront des autres.

Point douloureux n° 2 : taux de roulement des représentants

Le taux de rotation des employés des centres de contact de première ligne est élevé à 58 %, certains secteurs verticaux enregistrant un taux de rotation atteignant 85 %. En 2021, Indeed a classé les agents du service client sur sa liste des 12 meilleurs emplois avec le taux de roulement le plus élevé. De plus, selon le rapport sur l’état du développement de l’industrie 2021 de l’Association of Talent, il en coûte en moyenne 1 267 $ aux organisations pour former les employés. De plus, il en coûte aux centres de contact entre 10 000 $ et 20 000 $ pour embaucher et former un nouvel agent. Avec un chiffre d’affaires aussi élevé, c’est un exploit coûteux.

Non seulement le roulement a un impact sur les résultats d’une entreprise, mais il rend également de plus en plus difficile pour les organisations de maintenir une image de marque cohérente, une expérience de service et un moral élevé des employés, un facteur important pour attirer et retenir les talents.

Point douloureux n° 3 : le large éventail de directions qu’un appel peut prendre

Les agents des centres de contact télécom ne savent jamais à quel appel ils seront traités, qu’il s’agisse de l’état émotionnel du client ou du problème qu’il doit résoudre. Au plus fort de la pandémie de COVID-19, les entreprises ont même signalé une augmentation du nombre de clients appelant les centres de contact pour répondre à leur besoin de compagnie. La variabilité des plaintes et des interactions crée des conversations compliquées qui doivent être gérées de manière efficace, personnelle et positive pour maintenir l’engagement et la fidélité des clients. Les télécoms les plus efficaces d’aujourd’hui trouvent un équilibre entre une solide formation au service et une technologie de soutien pour surmonter ces défis.

Aller au-delà des points douloureux pour opérationnaliser l’excellence

La combinaison du paysage concurrentiel, du roulement élevé et des interactions clients variées qui accompagnent le travail dans un centre de contact se traduit par un environnement de travail difficile avec des attentes élevées des deux côtés de l’équation. Les fournisseurs de télécommunications doivent trouver une meilleure voie à suivre, en donnant la priorité à l’expérience des employés et en opérationnalisant l’excellence de l’intérieur vers l’extérieur pour améliorer l’expérience client. Plus précisément, il est nécessaire d’identifier la bonne pile technologique pour déplacer l’aiguille pour les employés et les clients. Selon une récente enquête Gallup, une expérience positive des employés réduit le roulement de 18 % dans les organisations à haut roulement et de 43 % dans les organisations à faible roulement.

Lorsque l’on considère le paysage technologique, les fournisseurs de télécommunications trouveront le succès avec les technologies d’intelligence artificielle et d’apprentissage automatique. La technologie de l’IA a considérablement progressé au cours de la dernière décennie, désormais capable de collecter et d’interpréter efficacement des données humaines à partir des interactions avec les clients en temps réel. Les organisations peuvent utiliser ces données dans l’ensemble du centre de contact pour informer les agents de l’expérience client et fournir des commentaires plus cohérents. Historiquement, les retours d’appels ont pris des heures ou des jours pour être reçus après les appels, sans les informations contextuelles qui permettent aux agents d’améliorer les interactions. Cependant, l’IA est devenue une source d’informations en temps réel qui permet aux employés de faire leur travail plus facilement et plus efficacement et de créer des boucles de rétroaction avec les superviseurs pour savoir quand un soutien supplémentaire est nécessaire.

En fin de compte, les fournisseurs de télécommunications doivent comprendre que 76 % des clients envisageront de quitter une marque après une mauvaise expérience. Les attentes ne font que grandir. Non seulement la technologie peut améliorer l’expérience client en équipant les équipes pour gérer les interactions les plus complexes, mais elle améliore également l’expérience des employés en fournissant un guide nécessaire pour garder une longueur d’avance sur la concurrence. Avec l’IA, l’organisation globale, l’expérience des employés et l’expérience client peuvent obtenir des résultats gagnants.

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